Découvrir les souterrains au niveau de l’histoire et de leurs emménagements.
A l’époque de la restauration complète des trésors du parc du château d’Enghien, ce sont les souterrains reliant l’étang du Miroir à celui des Moulins qui se dévoilent aujourd’hui au grand public, soit quelque 180 m d’un conduit vouté et maçonné datant du XVIIIe siècle.
La découverte remonte à 1990, au moment de la restauration des écuries. Les travaux de déblai dans les sous-sols de ce bâtiment, destiné à devenir un centre d’accueil des touristes, permettent de mettre à jour un conduit de 300 m de long, datant pour partie du XVIIIe siècle et des XVe et XVIe siècles à proximité des deux étangs reliés.
Dans un programme touristique, historique et culturel, la restauration et l’ouverture au public d’un tel site ne pouvait être écarté, précise-t-on en cité d’Arenberg. La rénovation du souterrain par la Région wallonne, qui a reconnu le parc comme monument majeur du patrimoine de Wallonie.
Cela dit, l’utilité du souterrain, car il y en a une, est fort éloignée des préoccupations touristiques d’aujourd’hui. Depuis le XVIe siècle, la galerie a servi à évacuer les eaux de l’étang du Miroir vers l’étang des Moulins et les anciennes douves du château en cas de débordement de trop-plein. Elle aurait également permis l’évacuation des eaux domestiques du tout premier château construit dans le parc, aux XII et XIIIe siècles. Enfin, certains historiens y voient le fondement des anciennes douves de ce château initial dont il ne subsiste que la chapelle castrale, accessible au public.
La partie centrale du sous-terrain, accessible au départ des écuries transformées en expositions, sera ouverte au grand public. La nouvelle saison culturelle, qu’on annonce riche; les guides touristiques d’Enghien organiseront plusieurs visites de la ville et du parc.
Aujourd’hui, les enfants, en visitant les souterrains, vont découvrir le monde mystérieux et fascinant des chauves-souris. Différents ateliers rendent l’apprentissage actif. La visite du souterrain leur montre dans quel genre de refuge les chauves-souris s’abritent pour passer l’hiver.
Durant l’année diverses activités culturelles y sont programmées également.
Sources : Internet.
Je n’ai pas une grande passion pour les chauve-souris, peut-être parce-que je les connais mal.
J’ai habité dans les années 70 dans un ancien corps de ferme avec des dépendances, tous les soirs on voyait les chauve-souris sortir des bâtiments et faire des rondes dans la cour.
Bonne semaine.
J’aimeJ’aime
Bonjour Claudie,
J’ai été interrompue, mon internet bugge pfff !!!
J’ai découvert les chauves-souris lorsque j’avais la quarantaine lol
J’habitais un troisième étage à Bruxelles et tous les soirs à la nuit qui tombait, je voyais passer en étant, devant les fenêtres grandes ouvertes, des « machins » qui volaient super vites. Je me suis souvent demandée ce que cela pouvait être et de quels oiseaux il s’agissait 😀
C’est ensuite que j’ai compris, bien plus tard, et par hasard que c’étaient des chauves-souris. A partir de ce moment là, j’ai regardé tout ces petits jeux du soir avec beaucoup de méfiance 🙂 C’est vrai que nous ne connaissons que très mal c’est petites bestioles si utiles à la nature. Le reste provient de notre inconscient collectif et aussi des légendes. Note que je n’aimerais pas trop y aller dans ce souterrain même pour les observer avec une lampe de poche. Même avec un guide, mais alors la tête avec un capuchon de la veste 😉
Bisous et bonne semaine.
J’aimeJ’aime