Bons ou mauvais, ils restent. S’affaiblissent. Ne sont pas oubliés pour les mauvais. Les bons gardent leur intensité et c’est grâce à ceux-là, ces petits bonheurs en rappels que perso je puis avancer.:)
Revoir nos anciennes écoles nous réservent beaucoup de nostalgie et nous rappelle tous nos rêves, nos plans d’avenir sur la comète, l’insouciance !
bon dimanche
Je n’ai pas fréquenté beaucoup d’écoles. Chacune catholique en étant petite, laïque en déménageant en primaire, et ensuite dans ce lycée m’ont apporté des histoires. Les plus importantes dans les grandes classes. 🙂
Bon dimanche Gisèle,
Oui oui et quel pan. Tout ce qui m’a construit. J’ai eu beaucoup de chance d’avoir l’école. C’est aussi grâce à elle que j’ai pu m’en sortir. Apprendre, la curiosité. Et des tas d’autres choses. Une trop grand maturité vis à vis des copines. Mais au final, malgré ce décalage, je les ai eues ces copines. La prochaine fois, je mettrai prise en photo de la photo, et non scannée, l’intérieur de la cour de récréation avec mon amie actuelle et moi-même à mourir de rire. Ici à midi le ciel a été tout noir. Là c’est passé. Du vent. Je suis à Bordeaux et c’est protégé, au deuxième étage. Je rentre demain chez moi où cela devient de plus en plus chouette 🙂 Bisous.
Ah comme j’aurais aimé aimer mes écoles quand je vois avec quelle nostalgie certains retournent sur ces lieux de leur jeunesse ! Mais entre elles et moi il y a toujours eu une terrible incompatibilité d’humeur …
😉
Oui oui, je le sais. C’est la raison pour laquelle j’aime raconter le contraire, et tout ce que mes professeurs que nous avons revu après être parties de là. Une grande réunion à nos quarante ans. Ce fut géant.
Nous avons eu la chance d’avoir des professeurs extraordinaires. Dans l’ensemble bien entendu. Surtout les principaux. En Belgique c’est fort différent ainsi que l’enseignement semble t-il. Je regrette votre année de philosophie qui n’était pas à l’époque au programme. Et pourquoi cette incompatibilité ?
Les plus beaux internats
possèdent tous des murs qu’il ne faut pas franchir. Obéissante, je ne les franchissais que dans mes rêves. Mais de ses rêves on ne revient pas toujours à l’heure pour écouter les cours. Souvent je restais avec eux au détriment de l’enseignement qui me dérangeait passablement. Mais depuis, la vie m’en a appris beaucoup plus et de manière plus ludique . 😉
Je comprends. 🙂 Merci pour ton opinion. L’école a été pour moi une bénédiction, un refuge loin de la maison. Ceci pour diverses raisons. Ensuite, j’ai toujours adoré apprendre. J’ai voulu devenir professeur en langue germanique à Bruxelles. Néerlandais, Allemand, Anglais. Je n’ai pas pu, pas su. Bref, une autre histoire. C’est dommage, c’est comme cela. 🙂 J’aurais préféré et j’ai même demandé aller à l’internet, question de sécurité. Cela me fut refusé. Les murs que je pouvais y rencontrer auraient été bien sages à côté de ceux vécus à la maison.
Bon dimanche Claudie,
Oui oui, depuis lors c’est devenu l’année d’après en 1971 l’Athénée Andrée Thomas (l’ancienne Proviseur du Lycée, devenue mixte. Pour l’histoire elle n’a pas pu supporter le changement, et elle s’est suicidée. C’était un véritable chef d’armée. Une grande dame en taille et pour tenir à cette époque un établissement de plus de mille élèves). Lorsque c’est devenu mixte, la situation dans cet établissement très sélect au niveau des études, s’est vraiment détériorée.
Voici un article pour voir si l’établissement avait changé. http://www.lacapitale.be/1509245/article/2016-03-08/forest-alerte-a-la-bombe-a-l-athenee-royal-andree-thomas-les-eleves-ont-ete-evac Ma photo est vieille et je l’ai scannée ce qui n’est pas du plus bel effet 🙂 J’y tiens beaucoup. Bisous.
C’est la photo qui donne cet effet. Hélas ! J’ai mis un lien sur la réponse à Claudie. De l’extérieur rien ne semble avoir changé. 🙂 En face de ce Lycée, le beau parc de Forest-Bruxelles. Un reste de la Forêt de Soignes. http://www.brusselslife.be/fr/article/une-guinguette-au-parc-de-forest
Oh que oui ! Celle de mon lycée, du savoir, de l’école. J’ai pleuré lorsque je suis allée chercher mes résultats de la dernière année. Pas celle du bac, de la Rétho que j’avais réussie. Pas d’examens à passer en septembre, rien. Ouf ! Je suis retournée peu de temps après pour immortaliser cet immeuble en 1970 où j’avais passé 7 années de ma vie. Inoubliables.
Oui, oui….je sais. J’y pense et puis j’oublie. Il y en a des articles ainsi mis et chez filamots et aussi chez brindille. Dans des dossiers dans mes fichiers Word sous Office. 🙂 Pour l’école, ce sera long…
Je retiens le mot démarrer. 🙂
brindille33 
Très jolie photo de souvenir, merci du partage
Passe une bonne journée
bisous
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Merci à toi voulaah 🙂
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avec le temps va, tout s’en va … mais les souvenirs restent quand même ! 🙂
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Bons ou mauvais, ils restent. S’affaiblissent. Ne sont pas oubliés pour les mauvais. Les bons gardent leur intensité et c’est grâce à ceux-là, ces petits bonheurs en rappels que perso je puis avancer.:)
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une belle histoire plein de nostalgie alors
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Tout à fait.
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Revoir nos anciennes écoles nous réservent beaucoup de nostalgie et nous rappelle tous nos rêves, nos plans d’avenir sur la comète, l’insouciance !
bon dimanche
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Je n’ai pas fréquenté beaucoup d’écoles. Chacune catholique en étant petite, laïque en déménageant en primaire, et ensuite dans ce lycée m’ont apporté des histoires. Les plus importantes dans les grandes classes. 🙂
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Des lieux qui marquent car c’est tout un pan de notre vie qu’ils nous rappellent
Bon dimanche Geneviève
Bisous
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Bon dimanche Gisèle,
Oui oui et quel pan. Tout ce qui m’a construit. J’ai eu beaucoup de chance d’avoir l’école. C’est aussi grâce à elle que j’ai pu m’en sortir. Apprendre, la curiosité. Et des tas d’autres choses. Une trop grand maturité vis à vis des copines. Mais au final, malgré ce décalage, je les ai eues ces copines. La prochaine fois, je mettrai prise en photo de la photo, et non scannée, l’intérieur de la cour de récréation avec mon amie actuelle et moi-même à mourir de rire. Ici à midi le ciel a été tout noir. Là c’est passé. Du vent. Je suis à Bordeaux et c’est protégé, au deuxième étage. Je rentre demain chez moi où cela devient de plus en plus chouette 🙂 Bisous.
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Souvenirs…souvenirs…heureux j’espère.
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Oh que oui ! J’en raconte un peu plus dans les autres commentaires.
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Ah comme j’aurais aimé aimer mes écoles quand je vois avec quelle nostalgie certains retournent sur ces lieux de leur jeunesse ! Mais entre elles et moi il y a toujours eu une terrible incompatibilité d’humeur …
😉
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Oui oui, je le sais. C’est la raison pour laquelle j’aime raconter le contraire, et tout ce que mes professeurs que nous avons revu après être parties de là. Une grande réunion à nos quarante ans. Ce fut géant.
Nous avons eu la chance d’avoir des professeurs extraordinaires. Dans l’ensemble bien entendu. Surtout les principaux. En Belgique c’est fort différent ainsi que l’enseignement semble t-il. Je regrette votre année de philosophie qui n’était pas à l’époque au programme. Et pourquoi cette incompatibilité ?
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Les plus beaux internats
possèdent tous des murs qu’il ne faut pas franchir. Obéissante, je ne les franchissais que dans mes rêves. Mais de ses rêves on ne revient pas toujours à l’heure pour écouter les cours. Souvent je restais avec eux au détriment de l’enseignement qui me dérangeait passablement. Mais depuis, la vie m’en a appris beaucoup plus et de manière plus ludique . 😉
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Je comprends. 🙂 Merci pour ton opinion. L’école a été pour moi une bénédiction, un refuge loin de la maison. Ceci pour diverses raisons. Ensuite, j’ai toujours adoré apprendre. J’ai voulu devenir professeur en langue germanique à Bruxelles. Néerlandais, Allemand, Anglais. Je n’ai pas pu, pas su. Bref, une autre histoire. C’est dommage, c’est comme cela. 🙂 J’aurais préféré et j’ai même demandé aller à l’internet, question de sécurité. Cela me fut refusé. Les murs que je pouvais y rencontrer auraient été bien sages à côté de ceux vécus à la maison.
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Belle photo rétro…bon dimanche
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Merci Georges et bon dimanche. C’était mon ancien Lycée à Bruxelles.
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C’était un lycée, je doute qu’il soit encore en activité.
Bon dimanche.
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Bon dimanche Claudie,
Oui oui, depuis lors c’est devenu l’année d’après en 1971 l’Athénée Andrée Thomas (l’ancienne Proviseur du Lycée, devenue mixte. Pour l’histoire elle n’a pas pu supporter le changement, et elle s’est suicidée. C’était un véritable chef d’armée. Une grande dame en taille et pour tenir à cette époque un établissement de plus de mille élèves). Lorsque c’est devenu mixte, la situation dans cet établissement très sélect au niveau des études, s’est vraiment détériorée.
Voici un article pour voir si l’établissement avait changé. http://www.lacapitale.be/1509245/article/2016-03-08/forest-alerte-a-la-bombe-a-l-athenee-royal-andree-thomas-les-eleves-ont-ete-evac Ma photo est vieille et je l’ai scannée ce qui n’est pas du plus bel effet 🙂 J’y tiens beaucoup. Bisous.
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Habités ? Abandonnés ? En tous cas, ces bâtiments transpirent la désolation.
Bon dimanche à toi.
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C’est la photo qui donne cet effet. Hélas ! J’ai mis un lien sur la réponse à Claudie. De l’extérieur rien ne semble avoir changé. 🙂 En face de ce Lycée, le beau parc de Forest-Bruxelles. Un reste de la Forêt de Soignes.
http://www.brusselslife.be/fr/article/une-guinguette-au-parc-de-forest
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Nostalgie ?
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Oh que oui ! Celle de mon lycée, du savoir, de l’école. J’ai pleuré lorsque je suis allée chercher mes résultats de la dernière année. Pas celle du bac, de la Rétho que j’avais réussie. Pas d’examens à passer en septembre, rien. Ouf ! Je suis retournée peu de temps après pour immortaliser cet immeuble en 1970 où j’avais passé 7 années de ma vie. Inoubliables.
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Effectivement !
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Depuis le temps que je dois écrire sur l’école. Je me répète, je sais. Ce sera long. Peut-être lassant ?
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Le tout est de démarrer !
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Oui, oui….je sais. J’y pense et puis j’oublie. Il y en a des articles ainsi mis et chez filamots et aussi chez brindille. Dans des dossiers dans mes fichiers Word sous Office. 🙂 Pour l’école, ce sera long…
Je retiens le mot démarrer. 🙂
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