Pour cette bonne idée de la part de Stéphane Cassin. Laisser des traces de ce que nous vivons pour les générations future, quoi que comme une internaute, Marie, une intervenante sur cet article, je me pose bien des questions. Voir les échanges chez Aphadolie. Je ferme les commentaires. J’ai aussi des choses à dire que je reporte. 🙂
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Les mots
Les mots
Nous nous sommes rencontrés sous la plume, au sein d’une page blanche.
Les liés et déliés de nos langues respectives nous avaient fait découvrir que nos cœurs étaient à l’unisson mais nullement libres.
Tu m’as conquise par ta magie, je t’ai conquise par mon érotisme. Les mots se sont couchés, se sont enchevêtrés, et le Merveilleux nous a enveloppés dans son grand manteau mystérieux d’un amour, d’une amitié, de désirs fougueux.
Les auteurs de ces mots nous ont fait vivre de merveilleux moments, d’une profonde intensité, d’envolées passionnées vers des sons d’une mélodie si douce à nos oreilles.
Je me suis couchée sur la pureté de ce lit, et les lettres je les ai tendues vers toi, comme une bouche sensuelle pour mieux te prendre du bout des lèvres, avec cette gourmandise que tu connais. J’ai avalé les mots, l’alphabet, comme différents nectars exquis, je me suis caressée avec toutes ces ondulations qu’ils formaient.
Il y a eu les lettres, puis les mots. Les phrases ont suivi et nous ont attirés dans une danse lascive irrésistiblement l’un vers l’autre.
Tu as attiré la lettre A, celle de l’amour, et puis la lettre D, de désir, vers tes doigts habiles.
Moi j’ai cueilli la lettre A, comme toi, puis la lettre C, comme cœur, la lettre F comme folie, la lettre P, comme passion.
Nous les avons mélangées toutes ces lettres, nous nous en sommes habillés, mais elles n’ont pas suffit pour nous réchauffer des rigueurs de l’hiver, et de la flamme qui dangereusement s’approchait de la feuille.
La bougie qui brûlait près de la page était là pour éclairer les auteurs, les lettres, les mots et les phrases.
Mais devant les écrivains, les lettres ont commencé à s’entremêler, prises par des désirs soudains et inassouvis. Deux lettres A se sont fait face, se sont caressées, et se sont écroulées sur cette page prises par un tel vertige, de sensualité, de désir, et d’érotisme. Enroulées l’une dans l’autre elles n’ont plus formé qu’une seule lettre A dans l’union totale et fusionnelle.
C’est à ce moment là qu’un grand coup de vent faillit faire tomber la bougie sur la page remplie de phrases.
Finalement la plume resta en suspens au-dessus du texte inachevé, et se dirigea vers le pot d’encre, s’y plongea, pour continuer un récit qui n’a pas de fin.
Aujourd’hui l’un des auteurs n’écrira plus, son encrier personnel est tombé.
Il ne reste plus que la plume que je tiens dans la main, suspendue dans l’air, à la recherche des mots qui nous ont si souvent, fait tant de fois rêver ensemble, au-dessus de toutes les contingences de l’âme, de l’esprit et rien qu’à l’écoute du cœur.
Mais les écrits, peuvent devenir cruels devant la réalité de l’existence, qui elle ne fait pas de cadeaux, même si les mots et les phrases restent vrais, authentiques.
Les larmes coulent sur le papier, à la recherche, d’une boucle, d’un délié, ressemblant à la courbe de ton corps tant de fois imaginé, enroulé autour du mien.
L’union des lettres était une chose, mais l’esprit s’est emparé des mots et des phrases, le cœur les a accompagnés, et le tout est retourné à l’état du rêve et du fantasme, ce qui était le début de la page.
Les mots Cœur, Amour, Folie, Désir, et aussi Amitié font actuellement une grande sarabande dans le mot Vie.
Elles nous prennent réellement chacune séparément, et nous emportent vers d’autres horizons.
Toutefois, les souvenirs sont tellement beaux, respectueux, merveilleux, que la plume ne peut que se poser sur la page pour continuer seule à chanter l’amour et l’érotisme et tracer en ton nom de nouvelles notes, qui viendront s’ajouter au chant mélodieux que nous avions commencé ensemble et où l’amour pour les auteurs continuera et portera le nom : Amitié.
Alors de ma plume j’écris Amitié tu es, au nom de l’amour que je te porte. (toujours d’actualité)
© Geneviève Oppenhuis (filamots – pétale 2006 autres pseudos sous lequel cet écrit a été publié.)
Source de l’image : http://antiblouz.blog.lemonde.fr/2006/06/
Ce blog ne semble plus exister.
Livre : La machine à brouillard de Tito Desforge
Quatrième de couverture :
Mac Murphy est un soldat d’élite. Mac Murphy est fort. Mac Murphy est dur. Mac Murphy est fou. Mac Murphy trimbale dans sa tête une épouvantable machine à brouillard qui engloutit ses souvenirs, sa raison et l’essentiel de son âme, morceau après morceau.
Quand les habitants de Grosvenore-Mine, ce village perdu dans les profondeurs de l’Australie, se hasardent à enlever la fille de Mac Murphy, ils ne savent pas à quel point c’est une mauvaise idée.
Une époustouflante plongée dans l’amour d’un père pour sa fille et dans les tréfonds de la démence d’un homme. Inlâchable. Attention : cauchemar.
Éditeur : TAURNADA ÉDITIONS (13/02/2020)
Biographie de l’auteur :
https://www.babelio.com/auteur/Tito-Desforges/529188
Mon avis.
Excellent. L’écriture de l’auteur est vraiment originale. Il a de ses expressions tellement imagées, amusantes. Les scènes sont visuelles. J’ai cherché à essayer de rentrer dans l’esprit de l’auteur, après la moitié du livre. J’ai opté pour deux solutions. L’une des deux s’est la plus rapprochée. Des passages d’une telle tendresse entre le père et sa fille à faire monter les larmes aux yeux. Cet homme qui a fait la guerre, un dur à cuire, qui a appris à se battre même dans le brouillard. Celui-ci aussi dans le tête de cet homme qui en mélange les mots, les lettres, perd le fil de ceux-ci, des phrases, des prénoms. Une pépite que ce livre qui sort des sentiers battus de par ce début. Je n’en dirai pas davantage. Il y a des scènes que je nommerais, là castagne, c’est violent comme le personnage. Il ne faut pas lui chercher des misères si il s’agit de sa fille. Alors il fonce, il dérouille, le sang coule. Une écriture très visuelle. En si peu de pages, c’est tout un monde que l’auteur raconte. Il nous emporte avec celui-ci et sa fille, et nous rentrons dans l’action, dans les sentiments, nous devenons eux. Une belle découverte. Un conseil, courrez vite le lire, c’est fort, intense. Toute la palette des sentiments.
Quelques extraits tout à fait personnels.
« Dehors régnait la carté du milieu du jour, si vive qu’elle en mordait les yeux. L’air qui s’engouffrait dans le véhicule par la fenêtre de Louis semblait l’haleine d’un four. A droit filait un triple rang de barbelés soutenus par un poteau métallique tous les vingt mètres, le genre de clôture de ces immenses ranches avec leurs troupeaux de dizaines de milliers de tête de bétail… »
« – Non, tu avais ton visage de tous les jours. C’était ça le pire. On aurait dit que tu regardais un film à la télé, ou que tu remplissais le filtre de la cafetière, ou que tu changeais l’ampoule de la lampe du salon. Je ne sais pas, comme si tu faisais quelque chose de gentil et en même temps que tu faisais quelque chose de méchant. De très méchant. »
« ….Enfin nous allions pouvoir commencer à nous parler, nous expliquer, sortir du silence empêtré qui nous avait tenu prisonniers durant toutes ces semaines, paumés, déambulant de part et d’autre de ce grand appartement d’Adélaïde comme deux petits pois oubliés au fond d’une boîte de conserve. »
« …Les autres balles allèrent assassiner des bocaux de cornichons rangés en sommet de rayonnages et trouer le plafond. »
Quelques nouvelles ce 19 mars 2020
Bonjour les zami(e)s
Hier après le délicieux repas que GG a préparé, photo à venir, nous étions très fatigués et avons fait une sieste. GG a commencé à avoir une voix rauque et à tousser. Il avait de la fièvre. Rien d’alarmant. Je lui ai « imposé » un dafalgan et au coucher dans la soirée cela allait mieux. Moi-même me sentais quelque peu patraque. Faire les courses nous a quelques peu démoralisés au niveau de l’ambiance et d’un certain stress. Juste quelque peu s’habituer à ces nouvelles normes et aussi faire un tour près de chez soi pour se vider la tête et revenir à des non-pensées 🙏🌺
J’ai quelques chroniques à éditer. Ainsi qu’à mettre des photos. ☘️☘️☘️☘️
En Belgique mon petit-fils est tombé. Aïe pour le poignet. Il en a besoin pour les compétions de tennis, suspendues pour le moment comme l’école. Tant mieux pour lui il aura le temps de se rétablir.
Prenez les zami(e)s bien soin de vous. Haut les cœurs. Et courage pour vous tous et vos proches.
Amitiés et bises 🌺🙏🌺😘🌹😘
Le jour où …
Bonjour les zamis,
Ce matin, j’ai téléphoné aux mini zoziaux pour savoir si ils avaient du pain et/ou de la farine ? Un monsieur très gentil me répond qu’il n’y a personne pour le moment et qu’ils ont tout cela. GG et moi nous partons, même direction, avec notre poche ou sac réutilisable, pour faire nos courses, la distance sera au moins respectée. 😉
Peu de monde sur le chemin, pas de bruit, quel bienfait. Le soleil brille et je profite des rayons du soleil bienfaisants en cours de route. Ici pas de jardin.
J’achète ce qu’il nous manquait et quelques yaourts. Bref peu de choses, nous avions fait vendredi dernier des courses normales. Je me dirige vers la caisse. Un mètre de distance. Personne est là pour contrôler. Un monsieur plus âgé que moi vient se mettre très près de moi et je lui demande gentiment de prendre ses distances. Il me répond :
– Nous avons connu bien pire pendant la guerre (Quelle guerre ?)
– Oui il y eut la grippe Espagnole pendant la guerre 14-18 (lorsque j’avais onze, douze ans, la grippe Asiatique où à la maison, nous étions papa, mon frère et moi au lit en train de délirer. Papa construisait des maisons d’après les dires de maman et mon frère et moi nous nous plaignions de tous les jouets trop lourds sur nos pieds. Maman infirmière à l’époque tenait le coup avec un petit coup de rhum. Pour nous soigner, il a bien fallu cela, elle-même avait de la fièvre. Une femme à ce niveau très courageuse.)
– Ce virus monsieur, nous ne savons même pas ce que c’est que cette saloperie qui aux dernières nouvelles d’hier soir circulerait dans l’air.
– Vous avez peur me dit-il ?
– Je me protège, et je fais comme je peux. Ce serait gentil de votre part de bien vouloir reculer.
Ce que ce monsieur finit enfin par faire.
Voilà pour l’anecdote du jour.
Je me suis bien amusée chez :
https://blogoth67.wordpress.com/2020/03/18/les-aventuriers-du-pq-perdu/
où les échanges m’ont fait éclater de rire. Cela vaut le détour.
C’est pour moi aussi une grande incompréhension que cette disparition du PQ.
Je me suis demandée pourquoi autant d’acharnement sur cet article qui pour moi n’a rien à voir sur notre alimentation quotidienne.
J’ai donc répondu chez blogoth67 ceci :
» Un nouveau livre à créer sur le mystère de la disparition du P.Q en cette période. L’existence d’un serial killer serait-il à découvrir ? La peau lisse est sur les dents et même à Bordeaux, ils ne comprennent pas. C’est la raison pour laquelle le Gouvernement a mis en place une cellule de crise pour essayer d’en savoir davantage. D’où la production de ce fameux papier à fournir, raison de nos déplacements. A ce jour le ou les coupables sont toujours recherchés. »
A ce sujet, ce document est d’une nullité complètement absurde. Pourquoi le gouvernement met-il en place une procédure administrative pour encaisser des PV alors que nous avons sincèrement d’autres chats à fouetter ?
J’ai vu comme tout le monde, que certaines villes ne respectaient pas les procédures. Hélas !
Merci à Stéphane Cassin pour le lien qu’il nous a donné pour pouvoir imprimer ce document.
GG a la gorge enrouée. J’espère que cela passera. Ceci ce soir.
A bientôt les zamis. Désolée pour le manque de photos ou d’images. J’en faite ce matin de Minouche qui voulait aider avec les papiers administratifs et de notre repas de ce midi.
Réflexions personnelles : Coronavirus/COVID-19 : les mesures prises au 17 mars 2020 – Attestation de déplacement dérogatoire – jour 2
Si vous souhaitez imprimer votre formulaire, Stéphane Cassin a eu la gentillesse de faire cet article pour nous. Merci à lui. Je ferme les commentaires. Vous aurez toutes les informations chez lui. Ce matin,18 mars, j’ai pu imprimer le fichier PDF, c’est mieux. Merci encore à Stéphane Cassin.
Photo du mois de mars 2020 – Monochrome
Ce mois ci c’est magda627 qui a choisi comme thème :
Monochrome ou une seule couleur
Cette photo date du 28 février dernier. Telle que celle-ci a été prise, il faisait totalement gris.
J’ai dû toutefois passer par le N/B, j’ai dû me rendre compte qu’un panneau situé sur le bas des arceaux du pont était en couleur. Ceci sans doute pour la navigation fluviale. Sinon, j’aurais pu la laisser telle quelle.
Il n’y a guère de modification en passant par le N/B, sauf pour cette partie là.
Que vais-je découvrir chez nos ami(e)s ? 🙂
Xoliv’, Cynthia, Gine, Jakline, Laurent Nicolas, El Padawan, USofParis, Renepaulhenry, Blogoth67, Lavandine,
Tambour Major, Lilousoleil, Nicky, Julia, J’habite à Waterford, Gilsoub, Akaieric, Mirovinben, Who cares?, Josette,
Giselle 43, Morgane Byloos Photography, magda627, Brindille, Philisine Cave, Danièle.B, Sous mon arbre, Marlabis, FerdyPainD’épice, Eurydice,
Escribouillages, écri’turbulente, La Tribu de Chacha, Frédéric, Pilisi, Betty, Christophe, Pink Turtle, Marie-Paule.
Et patatra vers minuit
Bonne journée.
Hier soir à 11h30, le rituel pour Minouche. Nettoyage de sa caisse, mettre de l’eau fraîche, à manger pour la nuit. C’est ici la « reine des Princesses »
Je m’assois sur le tabouret, toujours le même, c’est pratique, et je me sens partir en arrière, réception bas du dos et boum le bas du crâne contre le divan heureusement sans arêtes.
J’ai été sonnée. La Minouche s’est demandée ce qui se passait. Je passe les détails pour me relever, je ne puis plus avec l’handicap des deux genoux que je ne peux plus mettre à terre. A deux avec GG, nous avons réussi à m’asseoir dans le fauteuil. J’ai mal au cou, un peu mal à la tête, et le dos. Cela passera. J’ai bien dormi. Je songe à maman plus âgée qui me parlait lorsqu’elle a commencé à tomber en rue. J’étais si loin pour elle, à 900 km. J’ai eu de la chance, je le pense. C’est la raison pour laquelle, je n’ai pas encore répondu à tous les commentaires.
Bisous et à la fin de l’après-midi. 😘😘😘😘 Geneviève
Photo – Jardin public à Bordeaux
Tu me cherches ?
Un jour, ma maîtresse vous racontera mon histoire. 🙂
CHAT
Pour ne poser qu’un doigt dessus
Le chat est bien trop grosse bête.
Sa queue rejoint sa tête,
Il tourne dans ce cercle
Et se répond à la caresse.
Mais, la nuit l’homme voit ses yeux
dont la pâleur est le seul don.
Ils sont trop gros pour qu’il les cache
Et trop lourds pour le vent perdu du rêve.
Quand le chat danse
C’est pour isoler sa prison
Et quand il pense
C’est jusqu’aux murs de ses yeux.
PAUL ELUARD (1895-1952)
Moment de détente
Fermons les yeux, éteignons tout et écoutons. :
En ville, tous ces chants impossible à entendre.
Ne pas oublier de mettre le son.
Photo du jour – Tandem
Toujours et Jamais étaient toujours ensemble, ne se
quittaient jamais. On les rencontrait dans toutes les
foires. On les voyait le soir traverser le village sur un
tandem. Toujours guidait, Jamais pédalait. C’est du
moins ce qu’on supposait !
Ils avaient tous les deux une jolie casquette : l’une était
noire à carreaux blancs, l’autre blanche à carreaux noirs.
A cela on aurait pu les reconnaître ; mais ils passaient
toujours le soir et avec la vitesse…
Certains d’ailleurs les soupçonnaient, non sans raison
peut-être, d’échanger certains soirs leur casquette. Une
autre particularité aurait dû les distinguer : l’un disait
toujours bonjour, l’autre toujours bonsoir.
Mais on ne sut jamais si c’était Toujours qui disait
bonjour, ou Jamais qui disait bonsoir, car – entre
nous – comme ils étaient toujours ensemble, ils ne
s’appelaient jamais.
Paul Vincensini
Paul Vincensini né en 1930, à Bessans, d’un père corse et d’une mère savoyarde, et mort le 10 novembre 1985, est un poète français.
Alors qu’il était encore maître d’internat, Vincensini découvrit la poésie d’Alain Borne. Ce fut le début d’une intense amitié et d’une collaboration entre les deux hommes qui dura jusqu’à la disparition accidentelle d’Alain Borne en 1962. Dès lors, Vincensini ne cessa de multiplier les actions pour faire connaître le poète disparu, signant entre autres l’ouvrage qui lui est consacré dans la collection « Poètes d’aujourd’hui » chez Seghers. Sans doute peut-on dire que sans Vincensini, cofondateur avec Michel Rouquette du « Centre Alain-Borne », ce poète méconnu, aurait conservé sa grande part d’ombre.
Professeur de lettres et d’italien, Vincensini fut, sa vie durant, un propagandiste de la vie poétique, organisant et multipliant les manifestations, rencontres avec les poètes, spectacles et festivals poétiques, n’hésitant pas à se lancer lui-même dans des aventures éditoriales en créant les « Poèmes-missives » et le « Club du poème » qui publiera une quarantaine de titres. Mis à disposition par l’éducation nationale, Paul Vincensini accomplira un travail énorme de vulgarisation de la poésie dans les milieux scolaires, les associations, les organismes dépendant d’autres ministères que le sien. Il est aussi, avec Jean Pietri en 1982 le fondateur de la « Maison de la Poésie d’Avignon ».
Ses compositions personnelles, mélange de cocasserie, d’ironie et d’absurde, apparaissent comme un gigantesque pied de nez au mal être et au tragique existentiel.
Des sites internet lui sont consacrés :
http://www.paulvincensini.com
http://verlaine06.chez-alice.fr/