Le cadavre exquis chez Martine ou Ecri’turbulente. Mon texte :
« Les premières pages s’étaient élancées seules, à coup de mots retentissants, pétaradantes, sur le monde sauvage qui m’entourait et m’engluait dans une chaleur suffocante et moite. »
Souvenez-vous, c’était ce matin… Mon amie Jacou m’écrit en commentaire de la compil : – De quoi de quoi ? Mais où est passée ma proposition ?
– De quoi de quoi ?
Misère… trois des commentaires, le sien, celui de Lydia et celui de Carnets Paresseux, s’étaient faufilés dans les oubliettes de mon tableau de bord !
Au final, j’ai tricoté 10 propositions, suite à l’incipit. (Pourvu que, cette fois, je n’ai oublié personne !)
Mai 2008
Aujourd’hui, m’asseyant devant cette page, je me souviens d’une chaude nuit de février 1988 où j’ai dû affronter une autre page blanche.
Paulo Coelho, L’alchimiste
Février 1988 – Pâle dans la nuit noire, elle me faisait face. Je ne faisais pas le fier. Parti en hâte, je n’avais qu’un crayon mal taillé, qui soudain ne me paraissait pas du tout suffisant devant elle, qui grognait et trépignait, prête à charger à…
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