Le parfait petit guide pour un brunch de Noël réussi !

Le 25 au matin, oublie les toasts au beurre de pine pis les céréales. Tu mérites de te gâter un peu, et de te préparer un déjeuner digne des …

Le parfait petit guide pour un brunch de Noël réussi !

J’aime beaucoup les propositions sucrées. Un article trouvé au hasard en voulant répondre à Marie en Champagne 😉

D’ombre et de lumière

Assis sous le soleil du printemps, Patrick se dit qu’il lui faudrait bien un jour devoir se séparer de tous les livres qu’il exposait à cet endroit depuis autant d’années. Son père, le père de son père et ainsi de suite perpétuaient cette tradition sur la place de ce village tous les dimanches matins. Il soupira et se sentit triste de devoir se séparer de tous ses amis.

Au départ il ne se préoccupait d’aucun. A force de les côtoyer, il avait appris à mieux les connaître. Cela c’était accompli insidieusement, un peu malgré lui.
Ils se parlaient, échangeaient des idées pour lesquelles ils auraient pu mourir. Ils partageaient les amours de l’un. Les aventures de l’autre. Il avait fini par rentrer dans le cercle très fermé de tous ces mystères appelés communément par le nom masculin de : « livre ».
Chaque objet était la propriété d’un auteur. C’était avec lui que chaque jour Patrick apprenait, écoutait les confidences au détour de la page.

Un matin ensoleillé, il avait rejoint l’ombre d’un arbre. Il rêvassait à l’avenir, à sa future reconversion, il avait eu une proposition, devenir éditeur.
Soudain un grand brouhaha. Il se lève ou plutôt court vers la clameur qui enfle. Stupéfait, il s’arrête devant son étal.

  • Bon dieu se dit-il que se passe t- il ici ?

Les voix s’exprimaient et sortaient de toutes parts, à sa gauche, devant lui, près du sol.

Nous ne voulons pas partir ainsi. Donne-nous un délai Patrick disait un ouvrage broché de cuir. Je me sens bien à côté d’Emile Zola, Balzac, Alain Fournier, Stefan Zweig pour ne citer que ceux qui sont proches de moi.

Le soleil avait quelque peu tourné et les ombres jetées par les feuilles s’étendaient sur d’autres ouvrages. Ils s’enflammaient emportés par les autres propos de Hergé, de Schuiten, deux univers si opposés de la bande dessinėe. Goscinny en tête, ainsi que Peyo, même Pennac de ses derniers dessins si particuliers se joignaient aux autres.

  • Voyons Patrick que t’arrive t-il ? Tu ne veux plus rester en notre compagnie ?
  • Bien entendu que oui, mais aujourd’hui je dois penser à l’avenir. L’Europe va mal et je crains que nous devions, nous aussi, subir les secousses économiques de ces pays. Ici sur notre île, la vie est encore simple et belle. Vous me donnez de quoi vivre décemment. J’ai reçu une proposition où je ne devrai plus me lever si tôt. Veiller sur vous contre les voleurs de toutes sortes qui sévissent partout. Je suis fatigué, si las !
  • Ah ! C’est donc cela, dit Freud coincé entre Lacan et Cyrulnik. Le premier lui proposa son divan et le dernier lui dit au contraire qu’il avait confiance et rebondirait.

Il y eut une grosse bourrasque. Tous les ouvrages sortirent de leur emplacement et tournoyèrent autour de l’homme éberlué, apeuré. C’est que la révolte semblait gronder au sein des rangs qui s’étaient organisés. Ils encerclèrent l’homme. Ils s’étaient tous rangés côte à côte, serrés l’un contre l’autre. Pas un interstice entre eux. Au milieu, l’homme prit sa tête entre les mains et ne prononça qu’un seul mot :

  • Pardon !

Le groupe s’approchait, se resserrait de plus en plus près. Il aperçut Tatiana de Rosnay une petite dernière, mais aussi Poe, Ellory, Azimov et Stéphan King. Il prit peur. Malgré la chaleur, il sentit poindre en lui une profonde angoisse mêlée à une solitude immense.

  • Monsieur ! héla une voix féminine venue de très loin, vous allez bien ?
    Une main se posa sur son épaule en le secouant légèrement.
  • Venez vite ! Ajouta la dame affolée, le voyant allongé sur terre.
  • Que se passe t-il encore répondit-il d’une voix irritée. Que me veulent- ils ?
  • Je ne comprends pas ce que vous me dites, mais venez voir par vous même.

Elle l’entraîna vers le siège resté vide. A terre se trouvaient tous les livres qui lui appartenaient sans dessus dessous.

  • Il y a eu un coup de vent et voilà le résultat reprit la dame d’un air rempli d’empathie. Vous saignez de la tête Monsieur. Sans doute la branche qui se trouvait à vos côtés. Vous l’avez échappé belle !
  • C’est donc cela soupira Patrick, presque soulagé. Et continua dans un murmure :
  • Ça alors ! J’aurais pu croire…mais il ne finit pas sa phrase.
  • Allo dit la voix féminine, allo ? Pouvez-vous envoyer une ambulance ? Un homme est blessé. Il est si incohérent. La tempête sans doute. Merci.

17 mai 2012

Reblog – Sélection de sorties littéraires : mars – avril 2021

Les mois de mars et avril sont toujours très chargés en sorties littéraires. En cette année 2021, s’en est même assez délirant. Voici ma sélection …

Sélection de sorties littéraires : mars – avril 2021

La suite à lire chez l’auteur de l’article. Ceci pour mémoire en ce qui me concerne.

Bordeaux – Explosion rue Borie 06-02-2021

Je viens vous signaler que l’explosion qui a eu lieu à Bordeaux, ne se situe pas trop près de notre quartier.
https://www.sudouest.fr/2021/02/06/bordeaux-une-violente-explosion-dans-le-quartier-des-chartrons-8373987-2780.php
Nous n’avons même rien entendu à l’arrière, alors que ma voisine qui habite en face et chez qui je suis allée sonner craignant qu’elle se soit promener dans ce quartier m’a dit qu’elle avait entendu les pompiers aller et venir toutes sirènes hurlantes. J’étais contente qu’elle soit à la maison. Elle va à gauche et à droite, contrairement à moi, clouée à la maison avec une tendinite au tendon d’Achille depuis quelques semaines, et GG étant aller faire quelques courses comme il a l’habitude dans le centre ville. C’est son fils, inquiet, qui a téléphoné sur le portable de GG, portable que je n’ai pas décroché. Ensuite ce fut l’ainée des filles. Et pour le coup me téléphonant sur mon portable, elle m’a demandé où se trouvait son papa. J’ai pu la rassurer.

Il y aurait une cinquantaine de pompiers ce qui fait beaucoup de monde. La rue est longue. Je ne sais à quelle hauteur cela c’est produit et en plus c’est dans le quartier Notre Dame, des antiquités. Des anciennes maisons, dans une rue étroite ai-je vu à la télé qui était éteinte avant que je regarde les infos.

Je lis beaucoup et là il pleut, il pleut. Nous n’avons heureusement pas les pieds dans l’eau. Contrairement à d’autres personnes dans le S.O et un peu partout en France où les rivières débordent et font déborder d’autres plus importantes et ainsi de suite. Je pense à tous ces sinistrés.

En attendant 2021

En attendant le premier janvier 2021, j’aimerais vous souhaiter à toutes les personnes qui viennent ou venaient une année à venir
meilleure que la précédente. Les circonstances ne sont pas folichonnes. J’espère que toutes les personnes chez vous ou dans votre entourage vont bien et n’ont
pas été touchées par cette cellule intrusive. 
Il ne s’agit pas de ces charmantes grâces qui se sont insérées dans ce texte, mais une cellule jolie à voir de l’extérieur sous un microscope, et qui nous ennuie comme ce n’est pas possible. Je parlerai de moi un peu plus tard, et expliquer ce grand silence de ma part. Je n’ai pas été malade, nullement, ni GG. Nous avons les bobos de notre âge et pour ma part une tendinite au talon d’Achille qui me cause bien du souci. Sinon, c’est la valse des lectures de livres. Les listes dans les widgets ne sont plus à jour. 🙂 🙂

Comme nous étions quelque peu confinés, nous n’avons pas changé nos habitudes. Le masque en plus et cet « ausweiss » qui m’agace souverainement. Je suis attristée que les petits commerces paient un lourd tribu au profit des grandes surfaces et autres en ligne. Je suis triste que les restaurants soient fermés, cela nous aurait fait plaisir de nous offrir un bon repas. Tant pis, nous l’inventerons à la maison, comme d’habitude avec du foie gras et des coquilles Saint-Jacques. Cette fois ci le foie gras, j’y ai mis le prix tant pis. 
Le grand-père des deux filles et du garçon de GG, ceci du côté maternel vient de décéder cette nuit à plus de quatre-vingt-dix ans de vieillesse. Cela nous avait été annoncé depuis le début de ce mois. Il se sera sans doute éteint dans son sommeil.  La nouvelle est arrivée ce matin .  
J’ai hâte de pouvoir partir en voyage par les chemins, ceci au printemps. Attendons de voir venir. Nous profitons de chaque jour qui passe du mieux que nous pensions et envoyons les statistiques au diable et tous les « connaisseurs » qui n’y connaissent rien. Ceci, ce n’est qu’avec moi-même que je partage cette pensée. La bêtise n’a parfois de limite et je regrette que Coluche ne soit pas là pour commenter tous ces charabias. Il nous ferait bien rire à sa manière. 

L’aînée de mes petites-filles Sarah a trouvé un appartement trois chambre là où elle habite. Voilà une bonne nouvelle de fin d’année. Elle déménage le 15 janvier et m’a annoncé ce matin celle-ci avec le lien du superbe duplex avec une immense terrasse le long des murs du château d’Enghien, ancien domaine du Baron Empain. Je suis heureuse pour elle. Elle quitte une maison de classe énergie G pour une classe énergie B. C’est moderne, et suis contente pour elle. C’était très important en cette fin d’année pour elle, son compagnon et le garçon, qui a bien huit ans et demie. Cela grandit. 

A très très bientôt. En ce moment à Bordeaux, le temps n’est pas extra, c’est de saison. Avec ce vent du Nord qui s’est installé, vous allez dans toute la France avoir de la neige, de la pluie, du vent, bref du mauvais temps. Beaucoup d’humidité hélas pour nos vieux os. 

Un clin d’œil coquin pour terminer ce dernier texte de l’année. Elle est trop mignonne, je n’ai pas pu résister. 😉

Geneviève. 

 

Photo du mois de juillet 2020 – Transformation

Ce mois ci c’est pilisi qui a choisi comme thème :

Transformation

action de transformer… passage d’une forme à une autre… modification, changement… prouesse sportive… A vous de nous montrer quelle transformation vous êtes capable…


En fouillant dans mes archives, j’ai aimé cette photo qui pouvait très bien illustrer à l’automne,
la transformation des feuilles encore vertes.

Quelles sont les transformations que je vais découvrir chez nos ami(e)s ? 🙂

Blogoth67, Julia, Lilousoleil, Chris M, J’habite à Waterford, magda627, Danièle.B, Frédéric, FerdyPainD’épice, Shandara,
Lavandine, Cynthia, Gilsoub, écri’turbulente, Nicky, Akaieric, Marlabis, Xoliv’, Kemba, Brindille,

Laurent Nicolas, Philisine Cave, Amartia, Marie-Paule, Jakline, Renepaulhenry, El Padawan, Gine, Pilisi, La Tribu de Chacha,
USofParis, Josette, Pink Turtle, Morgane Byloos Photography, Escribouillages, Christophe, Tambour Major, Sous mon arbre.

Livre : Nécropolis – Herbert Lieberman

A modifier quant à la présentation non habituelle de ma part. Je corrigerai promis. 🙂

Bonsoir,
Je viens de le terminer conseillé en cela par Pierre Faverolle, voir : blacknovel1 – Nécropolis
Voici ce que j’ai écrit au sujet de ce livre pour commencer chez Pierre :

« Je viens de lire la chronique de Claude Mesplède dans le Dictionnaire des littératures policières de J-Z, deuxième pavé que j’avais acheté grâce à toi lors du décès de ce personnage dont j’ignorais tout. Là je viens de lire tout ce qui est écrit à son sujet. La série des livres est tentante, (je vais regretter de devoir mourir 😋 là) 😉 A prendre parce que c’est la vie et au second degré.
Puis-je mettre ce qui est écrit sur mon blog concernant cet auteur qui ira bien faire des tas de recherches pour écrire ses romans. Tu penses bien qu’un tel livre m’intéresse. Tu te souviens de Hillerman et de son écriture concernant les grands espaces et toutes les recherches qu’il a faites sur les Amérindiens.
Ici il s’agit comme tu l’écris de la ville de New York et de cette médecine légiste si peu présente à l’époque. Avec la série à la télé NCIS nous apprendrons des tas de choses en la matière et ceci montré de manière humoristique pour alléger ce sujet rébarbatif à l’époque. Depuis lors les récits des légistes font partie des romans.
De ce livre Mesplède parle de l’auteur et dit ceci :
Il l’a écrit après avoir assisté à de nombreuses autopsies qui lui permirent de voir « tout ce que les êtres humains peuvent s’infliger » ……… Voilà quelques mots sortis de ce dictionnaire pour cet ouvrage.
Merci pour ton enthousiasme, pour ta chronique. Je n’ai pas du tout été déçue de Hillerman. De Herbert Lieberman, il est journaliste certainement pas. 😀 »

Il a bien eu raison Pierre. Un livre d’une bien belle écriture littéraire, ce qui m’a beaucoup enthousiasmée. Ensuite la personnalité de Paul Konig, maniaque jusqu’au bout des ongles à trifouiller dans ce qui restent des cadavres pour découvrir les causes de la mort. Nous sommes loin de la série Bones et d’une autre NCIS. C’est via ces séries que les médecins légistes sont apparus pour nous montrer ce qui se passent avec ces corps.

Ce livre et cela se sent est une transcription de ce qu’a vécu l’auteur pendant une année en plongeant dans ce domaine et y a participé non pas aujourd’hui en 2020, mais bien dans les années soixante-dix. Il décrit au- travers de ce personnage tourmenté plusieurs enquêtes sur lesquelles il se trouve confrontés. Le grand professeur tellement demandé a négligé sa fille en tant que père et son épouse est morte d’un cancer. Elle a essayé de maintenir l’équilibre entre les deux, peine perdue. Conférences, courriers et voici ces enquêtes actuelles, ajouté à cela la disparition de sa fille vont plonger le légiste pas très commode, ajouté à un sentiment d’être à la pointe de sa réputation qu’il veut défendre devant les instances de la ville, dans bien des tourments.

Un livre que j’ai aimé par la complexité du personnage rongé par la culpabilité vis à vis de sa fille disparue et souhaitant faire son mea-culpa dès qu’il l’a retrouvera. En cela il est aidé par un enquêteur de terrain, Flynn et par le lieutenant Haggard, tous deux personnages haut en couleurs.
Quant aux enquêtes, aux autopsies, c’est tellement bien décrits. Un cours magistral scientifique de la part de l’auteur, au détail près. Je m’y suis vue. Je ne pense pas que je puisse supporter cela. Après l’habitude s’installe. J’ai adoré lire les investigations sur les deux cadavres non identifiés. L’assassin ou les assassins ayant tout faits pour leur couper la tête et c’est pas fini, histoire de ne pas pouvoir les identifier. Je n’ai pas été horrifiée. Très curieuse, me prenant comme élève de Paul Konig. Je l’ai vu agir minutieusement, se creuser les méninges pour trouver à rassembler tous ces morceaux trouvés démembrés dans le fleuve à NewYork. L’endroit est glauque, malsain, noir, putréfié. C’est dans ce monde là que le légiste évolue et que l’écrivain nous entraînera. Le reste dans le livre.

N’ayez pas peur. C’est une enquête magistralement menée de main de maître par un homme, l’auteur qui a bien appris ses leçons et nous sert en prime plusieurs autres recherches « pas piquées des vers ». Je n’en dirai pas davantage.

Les cannelés de Bordeaux – Comment les faire ?

Un peu d’histoire !!

Il y a plusieurs origines possibles, mais celle que l’on peut vérifier, est celle de l’évêché de bordeaux : les sœurs du couvent de Ste Eulalie avaient pour habitude de confectionner un gâteau à base de différents produits qu’elles pouvaient trouver sur le port de Bordeaux (18°siècle).

Ce gâteau s’appelait le cannelât – cannelât qui veut dire bâtonnet – car le moule était en forme de bâtonnet conique.

Ce gâteau était confectionné par les sœurs pour les indigents qui traînaient sur le port.

La décadence de la religion pendant cette période a entraîné dans sa perte, non seulement le couvent des religieuses de Ste Eulalie, mais aussi la recette de ce petit gâteau.

Quelque temps après, en hommage à la venue de Louis XVI à Bordeaux (qui n’est d’ailleurs jamais venu !), un maître boulanger se voit attribuer le dur ouvrage de réaliser une pâtisserie en l’honneur du Roi.

C’est à partir de la recette des sœurs de St Eulalie et en prenant le style mobilier le plus cher à Louis XVI (cannelures) qu’il a créé un gâteau original le « Cannelé » (reconnaissable par ses….. Cannelures).

Pour 12 cannelés

Préparation : 100 minutes

Cuisson : 1 heure T° 6 – 190°

FACILE

PEU CHER

½ litre de lait

1 pincée de sel

2 œufs entiers et 2 jaunes

½ gousse de vanille

1 cuillère à soupe de rhum

100 gr de farine

250 gr de sucre en poudre

50 gr de beurre

Plus 50 gr pour beurrer les moules à cannelés

Faire bouillir le lait avec la vanille et le beurre

Mélanger la farine, le sucre, puis incorporer les œufs d’un seul coup. Verser ensuite le lait bouillant.

Mélanger doucement pour obtenir une pâte fluide comme une pâte à crêpes,

Place au réfrigérateur 1 heure

Préchauffer le tour TH. 10 – 270° avec le tôle sur laquelle cuiront les cannelés.

Verser la pâte bien refroidie dans les moules bien beurrés, en ne les remplissant qu’à moitié. Rapidement disposer les cannelés sur la tôle du four en prenant soin de ne pas refroidir la chaleur du four.

Faire cuire à four chaud Th. 10 pendant 5mn puis baisser le Th. à 6 et continuer la cuisson pendant 1 heure. Le cannelé doit avoir une croûte brune et un intérieur moelleux.

Démouler encore chaud.

Dans le Gard, il transporte un taureau… dans sa voiture (vidéo)

Si vous souhaitez rire, il y a de quoi. Jack35 a bien choisi son article. Je le conseille.

Etrange et Insolite

La vidéo fait le buzz sur les réseaux sociaux. Un taureau de Camargue, passager d’une 206 décapotable. C’était dimanche au Cailar dans le Gard. France Bleu Gard Lozère a retrouvé le propriétaire de Bambino, le taureau.

Voir l’article original 458 mots de plus

Languedoc – Roussillon – Forteresse de Salses


Ce furent nos dernières vacances.
Voir d’autres photos de cet endroit :
ICI

Elle possède en son centre un puits. Alors que la forteresse possède 14 autres puits, essentiellement prévus pour récupérer de l’eau afin de refroidir les canons, celui-ci était destiné aux hommes et aux chevaux. L’eau du puits affleure à quatre mètres de profondeur environ, soit au niveau de la nappe phréatique.

La cour est bordée sur trois côtés d’un portique à arcades qui donne accès à la chapelle voûtée et aux écuries surmontées de trois niveaux de casernement.