Une histoire bouleversante sur les premiers habitants de Patagonie, cinq groupes, arrivés il y a dix mille ans dont il ne reste à ce jour qu’environ dix habitants. Une histoire entre les liens qu’ils entretenaient entre l’eau, le ciel, le langage, les sons de l’eau, l’osmose avec le cosmos.
Surtout sur l’histoire de ces peuples qui ont existé dans ce bout de terre si inhospitaliers qui ne demandaient rien qu’à vivre en osmose où le mot Dieu n’existait pas. Ils s’étaient habitués à cet endroit si hostile jusqu’au jour où un navire Anglais est arrivé…… la suite dans le film documentaire.
Pourquoi faut-il que ce qui vit différemment de nous, doit se soumettre à notre mode de vie, de pensées, d’habitat, parce que différent ? L’inverse est vrai aussi. Je pense aux grandes invasions depuis que les migrations ont commencé au début des territoires de la terre.
Ce film m’a fait découvrir un fait que j’ignorais dans cette région si lointaine. Quel goût d’amertume, de révolte, de colère en écoutant les mots, les faits. Cela me ramenait à ce qui c’est passé en Australie il y a très longtemps. Un article à faire et dont une partie se trouve sur le bureau de mon pc à Blaye.
Je ne sais si tout le monde pourra voir se film-documentaire ? En cherchant peut-être dans votre côté du
monde ?
https://vimeo.com/ondemand/boutondenacre
En passant en revue via le moteur de recherche, il n’y a rien à ajouter. Juste quelques sites qui donnent une géographie plus complète de la répartition de tous ces groupes.
http://www.christianclot.com/index.php/hielo-indiens
Ou alors pour du tourisme dans un mode lucratif pour les organisateurs.
Dans ce film il est surtout question des Kaweskars en mauve sur la carte.
Cette histoire rejoint à la lecture d’un merveilleux livre d’Isabelle Autissier, L’amant de Patagonie (prix Maurice Genevoix 2013) où j’ai pu y retrouver dans ce film-docu, ce que j’y avais lu grâce à cette grande voyageuse.