Informatique : Transfert d’un Ipad à un autre Ipad.

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L’essai de transfert sur un système d’exploitation Windows10 via ITunes a totalement été infructueux. Ceci malgré la gentillesse de Apple France pour essayer de résoudre ce nœud. Ce n’est que le lendemain en me mettant sur le Pc Imac de l’homme en allant sur Itunes que tout s’est déroulé en un/quart d’heure contre quatre-vingt-sept minutes la veille avec la société Apple. J’aurais dû me fier à mon instinct qui me disait de passer par l’IOS de Mac.

Le passage, de l’ipad à l’ipad2 s’était il y a au moins trois ans, bien passé.
De l’Ipad2 à un IPad 6ème génération je pensais que tout se passerait de la même manière.
Mais non, fallait pas essayer via Itunes sur Windows10.

Cela m’apprendra à écouter des personnes sensées être spécialistes. J’avais eu des doutes j’ai essayé. Que de temps perdus à chercher pourquoi tous les icônes et applications après sauvegarde ne se transféraient pas. J’ajoute ci-dessous une vidéo expliquant bien la procédure à suivre. Simple, rapide, efficace.


Clic dessus cela fonctionne.

Poésie-Coquelicot Paroles de Charles Trenet


COQUELICOT
Paroles de Charles Trenet – Musique de Charles Trenet et Albert Lasry
© 1948 – Raoul Breton

***
Coqu’licot, coqu’licot,
Fleur des champs, coeur sauvage
Coeur en fleur du bel âge,
Coeur des champs, pas méchant.
Coqu’licot dans les blés,
Au soleil de la vie,
Rougissante et ravie,
Ta p’tite âme me plaît.
Parfois, tout comm’ moi,
Tu suis les rails d’un train,
D’un train qui n’pass’ plus
Merveilleux ch’min plein d’entrain
Le chemin des beaux jours,
Du ciel bleu, des vacances,
Des poèmes, des romances.
Coqu’licot d’amour.

***
Je m’souviens de Margot,
Je m’souviens de Jeannette,
Coqu’licots ou bleuettes
Je m’souviens mêm’très bien
De Suzon, de Mado.
Blondinettes ou brunettes,
Et j’entends dans ma tête
L’écho d’nos bécots.
Chacune fut exquise,
(J’leur ai conté fleurette)
Chacune fut éprise
De ma petite chansonnette.
Coqu’licots des faubourgs,
Des banlieues ou des villes,
Qui choisir entr’ cent mille
Coqu’licots d’amour.

***
Coqu’licot, coqu’licot.
Fleur des champs, coeur sauvage,
Coeur en fleur du bel âge,
Coeur des champs, pas méchant,
Troubadour des talus,
Vagabond des prairies,
Liberté de la vie,
Coqu’licot élu.
Bien mieux qu’un’ fleur snob,
Qu’une orchidée, « ma chère! »
Chérie! sur ta robe
N’est-c’ pas, c’est lui qu’tu préfères?
Coqu’licot des beaux jours,
Du soleil, des vacances,
Coeur ardent de la France,
Coqu’licot d’amour.

Un peu de chaleur ?

De quoi nous réchauffer ? Entrons dans la danse. 

Pour le coup je suis chauvine et admire au passage les escaliers majestueux de cette gare à Anvers-Antwerpen (Belgique)

Une foule éclair (de l’expression anglaise identique flash mob), ou encore mobilisation éclair, est le rassemblement d’un groupe de personnes dans un lieu public pour y effectuer des actions convenues d’avance, avant de se disperser rapidement. Le rassemblement étant généralement organisé au moyen d’Internet, les participants ne se connaissent pas pour la plupart. (Sources : Internet)

Ramses Shaffy en – et Liesbeth list – Vivre -Laat me

J’avais par hasard entendu cette vidéo et aimer l’écouter quant aux paroles, à la musique et à l’interprétation très personnelle.
C’est curieux que j’aie retrouvé dans mes articles en attente (depuis le 28 mai 2015) justement aujourd’hui cette vidéo, alors que cet artiste est décédé hier en 2009. Hasard diraient les uns, synchronicité les autres.

Moi qui ai vécu sans scrupules
Je devrais mourir sans remords
J’ai fait mon plein de crépuscules
Je n’devrais pas crier « encore »
Moi le païen, le pauvre diable
Qui prenait Satan pour un Bleu
Je rends mon âme la tête basse
La mort me tire par les cheveux

Vivre, vivre
Même sans soleil, même sans été
Vivre, vivre
C’est ma dernière volonté

Ik zal m’n vrienden niet vergeten
Want wie me lief is blijft me lief
En waar ze wonen moest ik weten
Maar ik verloor hun laatste brief
Ik zal ze heus wel weer ontmoeten
Misschien vandaag, misschien over een jaar
Ik zal ze kussen en begroeten
Komt vanzelf weer voor elkaar

Laat me (vivre) laat me (vivre)
Laat me m’n eigen gang maar gaan
(Même bancal, même à moitié)
Laat me, vivre, vivre laat me
Ik heb het altijd zo gedaan

Je vois de la lumière noire
C’est ce qu’a dit le père Hugo
Moi qui ne pense pas à l’histoire
Je manque d’esprit d’à-propos

Voorlopig blijf ik nog jou zanger
Jouw zwarte schaap, je trouwe fan
Ik blijf nog lang, en liefst nog langer
Maar laat mij blijven wie ik ben

(Vivre) laat me, (vivre) laat me
(Quand faut y aller, il faut y aller)
Laat me m’n eigen gang maar gaan
Laat me vivre (vivre) laat me
Ik heb het altijd zo gedaan

(Vivre) Laat me, (vivre), laat me
(en plein soleil en plein été)
M’n eigen gang maar gaan
(Vivre) Laat me, (vivre) laat me
C’est ma dernière volonté

Ik heb het altijd zo gedaan
Laat me

Ramses Shaffy, né le 29 août 1933 à Neuilly-sur-Seine et mort le 1er décembre 2009 à Amsterdam, est un chanteur et acteur néerlandais.

Il était le fils d’une comtesse polonaise d’origine russe et d’un diplomate égyptien1. À six ans, à la suite de la tuberculose de sa mère, il est confié à une tante habitant à Utrecht aux Pays-Bas. Il est ensuite confié à une famille adoptive de Leyde qu’il refusera de quitter pour rejoindre sa mère.

Ses chansons les plus connues sont Sammy (1966) et Laat me (1978).

Tables rondes un dimanche à Bordeaux

Merci pour vos passages, vos commentaires, mes quelques échanges depuis le 14 août où je suis tombée. Comme je procrastine, je remets au lendemain ce que je souhaiterais vous écrire. 🙂
Blonde ai-je été ce jour là, mince alors.
En attendant ces nouvelles, j’essaie de maintenir le cap.
J’ai lu, cette nuit jusqu’à pas d’heure. La fin d’un policier bien entendu. Une suite d’un premier volet, excellent. Le deuxième pour mon avis, bof.

J’ai pris cette photo un dimanche et comme vous le savez, j’aime ce qui est lignes, cercles, carrés. La dernière fois où j’y étais passée les chaises étaient rouges. ?? Je suis le mouvement du propriétaire qui modifie ainsi l’environnement. A droite et cela ne se voit pas un vendeur d’huîtres avec ce beau labrador déjà photographié. J’ai pas trouvé une citation qui convenait.
Ce qui me vient à l’esprit c’est cette chanson.

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La dernière rose de l’été par James Galway (poème Thomas Moore)


Adaptation de l’air traditionnel irlandais « The groves of Blarney ». – Poème et adaptation musicale de Thomas Moore
Fait partie du recueil « Irish melodies » (1813)
Nombreuses adaptations dont « Letzte Rose », air du deuxième acte de « Martha » de Friedrich von Flotow

La dernière rose de l’été (traduction de Karl Petit)

C’est la dernière rose de l’été
Abandonnée en fleur ;
Toutes ces belles compagnes,
Sans retour sont fanées ;
Plus de fleur de sa parenté
Plus de boutons de rose à l’article de la mort
Pour réfléchir ses rougeurs,
Et rendre soupir pour soupir.

Je te laisserai point chère solitaire,
Languir sur ta tige ;
Puisque sommeillent tes sœurs
Va donc les rejoindre.
Et par sympathie, je répandrai
Tes feuilles sur le sol
Où tes compagnes de jardin
Gisent mortes et sans parfum.

Puissé-je te suivre bientôt
Lorsque l’amitié s’émoussera
Et que du cercle magique de l’amour
Les gemmes se détacheront ;
Quand les cœurs fidèles ne palpiteront plus
Et que les êtres aimés auront disparu,
Oh ! qui donc voudrait habiter seul
En ce monde désert !

Thomas Moore (« Mélodies irlandaises », 1807-1834)
Sources pour le poème : ICI

Lhasa de Sela une découverte de ce soir.

Merci pour vos visites et  tous vos commentaires  ❤

Entendue ce soir dans un film.
Pour en savoir davantage voir
ICI

Merci à l’ L’Emite Athée
d’avoir ajouté les paroles de la chanson française :
« La route chante
Quand je m’en vais
Je fais trois pas
La route se tait

La route est noire
À perte de vue
Je fais trois pas
La route n’est plus

Sur la marée haute
Je suis montée
La tête est pleine
Mais le coeur n’a
Pas assez

Mains de dentelle
Figure de bois
Le corps en brique
Les yeux qui piquent

Mains de dentelle
Figure de bois
Je fais trois pas
Et tu es là

Sur la marée haute
Je suis montée
La tête est pleine
Mais le coeur n’a
Pas assez »
J’ai exceptionnellement fermé les commentaires n’ayant pas du tout le temps d’y répondre ni surtout l’esprit serein. 😦
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Mort de la conversation ?

Bon mercredi

Avant de vous donner quelques nouvelles supplémentaires sur un autre article, je viens de recevoir un mail assez amusant sur ce fameux phénomène des téléphones mobiles dans notre environnement.
Je ne sais si vous avez déjà vécu cette impolitesse d’être reçu(e) pour un anniversaire quelque part et de devoir constater que les jeunes autour de soi sont rivés sur le téléphone mobile et s’extraient ainsi de toutes conversations ou échanges familiaux ?

Je vous laisse vous amuser un peu, de ces quelques images qui font sourire, grincer des dents, et pour la toute dernière une petite pointe de tristesse tout de même 😦

Sorcière

Garçon ballon

Dans la tête

Dictature du smartphone

Selfie avec la mort

Selfie d'arrivée au paradis

Banc amoureux twitter

Je termine sur une note plus joyeuse, d’un film que j’ai regardé ce matin : Le papillon avec Michel Serrault. A regarder, c’est un très beau film. Les deux comédiens sont géniaux surtout la petite fille. Je mets le générique du film, pour les paroles.  🙂

Le papillon

Pourquoi les poules pondent des oeufs?
Pour que les oeufs fassent des poules.
Pourquoi les amoureux s’embrassent?
C’est pour que les pigeons roucoulent.

Pourquoi les jolies fleurs se fanent?
Parce que ca fait partie du charme.
Pourquoi le diable et le bon Dieu?
C’est pour faire parler les curieux.

Pourquoi le feu brule le bois?
C’est pour bien rechauffer nos coeurs or.
Pourquoi la mer se retire?
C’est pour qu’on lui dise « Encore. »

Pourquoi le soleil disparait?
Pour l’autre partie du decor.
Pourquoi le diable et le bon Dieu?
C’est pour faire parler les curieux.

Pourquoi le loup mange l’agneau?
Parce qu’il faut bien se nourrir.
Pourquoi le lievre et la tortue?
Parce que rien ne sert de courir.

Pourquoi les anges ont-ils des ailes?
Pour nous faire croire au Pere Noel.
Pourquoi le diable et le bon Dieu?
C’est pour faire parler les curieux.

ca t’a plu, le petit voyage?
A la prochaine fois, d’accord.
D’accord.
Je peux te demander quelque chose?
quoi encore?
on continue mais cette fois-ci c’est toi qui chantes.
Pas question.

Tu te pleures.
Non, mais non.
alors, c’est le dernier couplet.
Tu ne crois pas que tu pousses un peu le pourchas?

Pourquoi notre coeur fait tic-tac?
Parce que la pluie fait flic flac.
Pourquoi le temps passe si vite?
Parce que le vent lui rend visite.

Pourquoi tu me prends par la main?
Parce qu’avec toi je suis bien.
Pourquoi le diable et le bon Dieu?
C’est pour faire parler les curieux.

ICI