Pour ne pas oublier de lire et de bien relire ce sujet si important en ce qui me concerne. Merci Elisabeth pour cet article que je me permets de rebloguer. Je pourrai ainsi y revenir pour la lecture. Pour les commentaires, c’est bien entendu sur ton blog que je les ferai 🙂
Si nous adorons tous être joyeux, enthousiastes, pleins d’entrain, nous sentir confiants, en nous, en la vie, nous sommes également confrontés à des émotions perturbatrices, dérangeantes, déstabilisantes.
Et non seulement, cela nous déplaît mais entraîne le désir de nous en débarrasser car elles nous gênent et nous ébranlent.
Souvent, quand nous sommes emportés, nous perdons tout discernement et faisons ou disons des choses que nous regrettons par la suite.
Sans parler de la souffrance qui en résulte…
Nous les concevons donc comme des ennemies et cherchons à les brider, à les contrôler ou à les refouler.
Mais est-ce vraiment une bonne idée de nous en défaire ?
Non seulement nos émotions prennent source à un âge où l’intellect – pas encore développé – n’a pu y faire face mais ces difficultés continuent à vivre en nous, présentes et fortes, comme au premier jour.
L’inconscient, disait Freud, ne connaît pas le temps…
Voir l’article original 1 391 mots de plus
Merci, Geneviève, je suis heureuse que tu aies abordé ce sujet que tu craignais un peu 🙂
Pour les commentaires, tu les postes où tu as envie…
Bisous et douce journée
J’aimeJ’aime
Oui, nous changeons, mais avec ce que nous sommes …
Bonne soirée de ce mercredi Geneviève !
Bisous♥
J’aimeJ’aime
il faut changer les émotions négatives en positives mais les émotions restent
J’aimeJ’aime